Eh oui, à moins d'être resté depuis fin 2019 dans une grotte ou une autre galaxie, personne ne peut échapper au confinement (enfin si... les nouveaux joggeurs, les loueurs de chien, bref, tous les blaireaux qui considèrent que le Covid19, ça n'arrive qu'aux autres!).
Ici, on a quelque peu perdu le fil, le temps s'égraine et nous oublions parfois quel jour nous sommes!
Pour "fêter" ce 50ème jour, tout au long de cette semaine, je vais publier un florilège des photos que j'ai prises dans le jardin (notre petite liberté dans ces moments durs, on peut sortir dans le jardin!)
J'aurai pu vous les montrer au jour le jour me direz-vous! Certes mais c'était son compter sur mon ordinateur qui a rendu l'âme et le délai d'arrivée du 2ème. Le Covid a eu raison de mon vieil ordi qui n'a pas supporté le télétravail (enfin surtout la carte mère qui est morte sans souffrir!)
Notre forsythia, cette gaieté jaune redonne de la joie et réchauffe les cœurs
Le romarin a lui aussi pris ses couleurs, un parme pastel, qui nous murmure à l'oreille que le printemps est là.
Indémodable pâquerette qui s'ouvre dès les premiers rayons du soleil. Elle sera fauchée par la mort à l'aube de sa vie (que voulez-vous, il faut bien passer la tondeuse avant que le jardin ne ressemble à la savane). Mais d'autres repousseront bien vite et parsèmeront la pelouse pour le plus grand plaisir des grands et des petits.
Mon plus beau modèle, mon cerisier, j'ai pu le suivre de la fleuraison, à la formation des futures cerises.
Elle ressemble à la ficaire mais peut être n'est-ce qu'un leurre. J'aime beaucoup cette petite fleur que l'on retrouve comme ça, au détour d'un brin d'herbe.
Nos violettes odorantes, que l'on retrouve un peu partout.
J'adore leur petit minois!
Ce qu'il faut savoir sur notre jardin, c'est qu'il est plutôt en mode sauvage. Ni moi, ni mon mari n'avons vraiment la main verte. Alors en arrivant dans cette maison il y a maintenant 15 ans, nous avions pris la décision de faire des parterres de fleurs mais.... cette tulipe est donc une rescapée, une rebelle qui chaque année nous donne une belle fleur que je m'empresse de photographier, par peur qu'elle soit la dernière.
Mes clochettes préférées, le Muscari.
Lui aussi, comme la pâquerette, sera fauché dans la fleur de l'âge (sans aucun jeu de mots) par la tondeuse!
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